Nous devons posséder un numéro SIRET nécessaire pour céder ou vendre des pots de miels ou produits dérivés de la ruche en dehors du cercle familial.
Chaque apiculteur est un cas particulier. Pour cette requête, on peut décrire cependant un enregistrement basique pour un apiculteur de loisir de moins de 50 ruches, qui par ailleurs est salarié non agriculteur.
Depuis le premier janvier 2023, il n'est plus possible d'effectuer vos démarches dans un Centre de Formalités des Entreprises (CFE).
Vous devez le faire sur le site internet du guichet des formalités des entreprises. C'est gratuit si vous le réalisez vous-même. (Attention aux sites qui vous "accompagnent", c'est payant!)
Voici le document qui vous explique la PROCEDURE A SUIVRE ICI
On observe au rucher école de Beaune des mâles qui réapparaissent! Les ruches ne sont pas bourdonneuses. Si vous avez mis vos portes antifrelons, faites attention à dégager l'entrée au retour du froid : des mâles occis pourraient obstruer la porte d'entrée et étouffer la colonie.
La pression en début de semaine dernière était de 1 frelon par ruche en moyenne à un moment donné. L'installation de 3 harpes a fait quasiment disparaitre le frelon en 4 jours avec 1 frelon encore pour 10 ruches. On rappelle que les plans de cette solution, à croiser avec d'autres, sont sur le site du GDSA21.
Un très bon documentaire de THEMA/ARTE t à revoir sur Youtube qui présente comment a dérivé notre agriculture vers une dépendance chimique, entretenue par les firmes fabricantes de pesticides et qui aboutit au désastre écologique en cours.
La population d'insectes aurait chuté de 75% en 30 ans en Europe . Il a fallu plus pourtant plus de 20 ans pour limiter l'usage des nicotinoïdes alors que d'autres classes apparentées, agissant également comme neurotoxiques (anticholinergiques), sont déjà sur le marché. (Sulfoximes ou butenoïdes comme le Sulfaxor et la Flupyradifurone)
Marie Aureille nous avait déjà expliqué dans nos colonnes comment les firmes ont pu nier ce constat avec une communication diabolique en trois phases: négation, il n'y a pas de problème avec les pesticides, puis disqualification des analyses présentées par les chercheurs, enfin dilution/dispersion de l information, en occurrence en évoquant le multifactoriel à la disparition des insectes. Tout ceci avec un lobby très actif notamment auprès de l'EFSA.(Autorité Européenne de Sécurité des Aliments)
Pourtant des solutions agricoles existent et nous sont sont présentées.